« L’article et le rapport contiennent de nombreuses inexactitudes, des déformations du droit de la République démocratique du Congo et des relations d’affaires d’Ivanhoe Mines, et démontrent une incompréhension fondamentale du cadre législatif des codes miniers de la République démocratique du Congo« , souligne le communiqué.
L’entreprise dit avoir l’intention de répondre « complètement » à ces allégations « bientôt ».
Ivanhoe Mines est une société minière canadienne axée sur l’avancement de ses trois principaux projets en Afrique australe : les grandes nouvelles mines souterraines mécanisées du complexe minier de Kamoa-Kakula en République démocratique du Congo, le développement du palladium-rhodium-platine de Platreef – découverte de nickel-cuivre-or en Afrique du Sud ; et le redémarrage de la mine historique de zinc-cuivre-germanium-argent de Kipushi, également en République démocratique du Congo.



